La traducción como forma de exilio interior: el caso de Marià Manent
DOI :
https://doi.org/10.7203/eutopias.0.19791Mots-clés :
Traduction, Exil, Marià ManentRésumé
La dualité de l’exil et de la traduction est un sujet de grand intérêt pour la littérature comparée. D’une part, on peut étudier la relation cause-effet entre l’un et l’autre (les exils menant à la traduction et les traductions qui motivent les exils), et d’autre part, la traduction peut être, en soi, une forme d’exil linguistique, que ce soit de l’œuvre originale, ou de leur propre langue littéraire d’expression. C’est un sujet qui soulève des questions telles que la censure, l’utilisation de la langue littéraire dans certaines conditions biographiques ou historiques et autres aspects comme celui que est discuté ici, les formes d ‘«exil intérieur» de ces auteurs qui ont dû adopter, en tant que langue littéraire pour leurs traductions, une langue autre que la leur.
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